Qui Suis-Je
Je suis voyante intuitive, cartomancienne indépendante.
À la différence de beaucoup, je ne suis pas née d’une descendance de voyante, mais plutôt d’une génération de femmes intuitives dotées de beaucoup d’empathie.
Mon Histoire
Ma grand-mère tout d’abord était une femme simple qui avait disait on le don de soulager les brulures et les maux d’estomac. Elle travaillait avec la ceinture de son tablier qu’elle enlevait lorsqu’elle avait besoin de soulager la douleur d’une personne en mesurant de son front au « « mal » et récitant des phrases si inaudibles que je serais bien en peine de vous les répéter. Ma mère n’avait pas ce don, mais était dotée d’une empathie exceptionnelle, elle l’utilisa pour son métier d’agent d’amphithéâtre (agent mortuaire) j’ai beaucoup d’admiration pour elle.
Donner une définition de l’intuition qui caractérise les femmes de notre famille serait bien longue à expliquer, mais j’ai su très jeune que je n’interprétais pas les choses comme tout le monde. L’intuition est pour moi une boussole intérieure, qui nous guide et nous aide dans notre chemin de vie et lorsque nous avons de l’empathie, elle nous envoie des messages pour aider autrui.
J’ai su très tôt que j’avais cette même intuition cette même empathie familiale, ce même besoin d’aider les autres. Ma passion pour la cartomancie est venue très tôt. Mon premier jeu, simple jeu de carte, je l’ai emprunter à mes parents, c’était un jeu publicitaire gagné lors d’un loto, je l’ai encore, cela fait plus de 40 ans. Je m’en servais avec mes amies qui étaient curieuses de savoir avec quel garçon elles allaient bien pouvoir sortir, si elles allaient réussir leur examen.
Pourquoi j’ai commencé à tirer les cartes, et bien très franchement je ne sais pas comment c’est arrivé, j’ai l’impression de l’avoir toujours fait mais je me rappelle la première lecture qui m’a donné des frissons c’était à un ami qui voulait connaitre son avenir professionnel, je n’ai pas vu de professionnel, mais une grande tristesse qui l’habitait, suivit d’une rentrée d’argent inattendue, il perdit son papa trois mois plus tard et hérita d’une somme d’argent.
Je compris que les cartes étaient mon support, l’intuition mon guide. L’empathie ma raison.
Les années passèrent et ma grande curiosité dans l’ésotérisme me dirigèrent tout naturellement vers d’autres domaines, comme le spiritisme, l’écriture automatique. Ma rencontre avec d’autres voyants, des personnes aussi curieuses que moi me permis de vivre des expériences incroyables.
Entre temps je décidais d’évoluer dans la cartomancie, on m’offrit un jeu de tarots de Marseille, je décidais en autodidacte de faire mes tirages pendant des années. Cela se passait plutôt bien, mes consultations étaient appréciées, mais je sentis rapidement que je n’évoluais pas, du moins pas comme je voulais, j’avais vraiment l’impression de tourner en rond.
Les aléas de la vie, la perte d’êtres chers, la maladie, m’éloignèrent de la cartomancie, un temps.
Et puis un jour, je lu un article sur l’oracle de Belline, une véritable révélation, c’était mon oracle, la complexité de ce jeu me redonna l’envie de tirer les cartes.
Aujourd’hui il fait partie intégrante de ma vie, je n’ai pas hésité à faire un stage d’excellence avec Alexis TOURNIER, et oui j’ai compris que même un don doit être entretenu et nourri, je lui dois ma renaissance, toujours aussi curieuse je l’accompagne aujourd’hui de l’oracle Gé, pour lequel j’ai fais un stage avec l’auteur Gérard BARBIER (il est intéressant de comprendre un oracle par son créateur) plus léger, mais très intéressant et complémentaire je l’utilise de plus en plus.
Voilà je me suis présentée, et maintenant c’est à vous...